D’un côté les hommes poussières
Petits grains épris d’universel
Capables aussi d’antimatière.
De l’autre Dieu insaisissable
Le tétragramme innommable
Etre immensément dense
Grande présence Toute confiance
Dont la puissance d’amour nous échappe
Et se veut totalement captif de notre foi.
Par cette foi l’homme s’élève
A toucher les franges éternelles
A goûter les saveurs de ce miel.
En cette foi même lui est offert
De gérer les clés du royaume
D’en hâter la venue céleste joyau
Belle cité nouvelle Jérusalem.
Daniel-Marie Gérard (Janvier 2014)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire