Plus de branches, plus de ramures
C’est un volume compact, une plénitude
Un espace de vie, un port, un refuge.
Les oiseaux chanteurs s’y donnent rendez-vous
Leurs venues se multiplient, des allers et retours
Ramenant pailles et brindilles des alentours
Pour tisser leurs nids en ces plus beaux jours.
Ainsi la nature prend suprême soin
A broder belle parure et linge fin,
Discrétion nécessaire à ces levains,
Nouvelles petites vies en ce havre saint.
Daniel-Marie Gérard (Mai 2016)
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