lundi 20 juillet 2015

médisance...











Tu avances à pas feutrés
Dans une ambiance ouatée
Tes armes fourbies affûtées.

Toujours à couvert tu te répands,
Décoches tes flèches à tous vents
Même déchires le moindre passant !

Tels ces gaz durant de sanglantes batailles
Neutralisaient traîtreusement des semblables,
La médisance détruit la cellule sociétale.

Avec œuvre quotidienne de mitage
Elle évide toutes les forces vitales
Et anémie les plus frêles âmes.

Plutôt des ondes bienveillantes
Que des propos malveillants !
Notre avenir est chez les orants.

Daniel-Marie Gérard (Juin 2015)





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