Devant le Dieu sans commencement,
l’esprit titube, vacille, pris de vertiges.
Tentation de le réduire, le caricaturer,
le tenir à distance.
Mais si l’on touche Jésus,
à la suite de la femme étrangère,
Dieu devient Père
et s’ouvre un océan de tendresse.
Daniel-Marie Gérard (Avril 2011)

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