A Fatima non loin de Lisbonne
Peu avant la révolution d’octobre
A trois jeunes illettrés la Dame du Rosaire
Confiait l’avenir du monde et trois secrets.
Comme en Mayenne en pleine guerre,
Souffrant en ses enfants la Vierge Mère
Prit à témoin milliers de cœurs inquiets
Pliant le genou sous menaçant soleil.
Anticipant les dérives du vingtième siècle
Et les martyrs de ses régimes totalitaires
Elle arma ces enfants du seul rosaire
Pour sauver des enfers la terre entière.
IL suffisait de consacrer à Marie
Les peuples du monde, la Russie,
De prier pour tous les pécheurs,
Les premiers samedis avec cœur.
Dieu choisit toujours le pauvre sans valeur
Pour confondre les manigances des puissants
Pour offrir aux nations une paix nourrissante
Que le ciel donne enveloppée de bonheur.
D-M G 10-2017
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