Au long de nos profondes nuits
La multitude des fleurs qui chantent
Toutes ces couleurs qui enchantent.
Pour accéder à l’invisible
Il y a les chuintements du vent
Les miroitements du firmament.
Il y a la surprise de l’arc-en-ciel
Les reflets chatoyants du miel
La foison des pensées plurielles.
Pour accéder à l’invisible
Il y a la certitude des bergers
La venue des mages étrangers
Les enseignements sur le lac apaisé,
Il y a tous ces regards sur la croix fixés
La nouvelle d’abord aux femmes confiée
Et les nuages voilant le divin crucifié.
Daniel-Marie Gérard (Mai 2016)

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire